Les facteurs essentiels du développement agricole

Des systèmes alimentaires sains, durables et inclusifs sont essentiels pour atteindre les objectifs de développement mondiaux. Le développement agricole est par exemple l’un des leviers les plus puissants pour éradiquer l’extrême pauvreté, renforcer la prospérité partagée et nourrir les habitants de la planète. Ce secteur est aussi un système économique qui a longtemps fait l’objet d’études théoriques intensives et des économistes, des agronomes, des sociologues, des experts en anthropologie, en sciences politiques et en psychologie sociale se sont tous exprimés. Quelles solutions sont donc mises en place pour favoriser l’accroissement de l’agriculture.

Les technologies agricoles.

La technologie est de plus en plus considérée comme un facteur susceptible de faciliter la transformation et le développement agricole, car elle peut améliorer l’efficacité, la résilience et les rendements agricoles tout en minimisant les coûts. De nombreux agriculteurs utilisent par exemple des machines agricoles pour augmenter la précision et la vitesse des opérations de plantation et de récolte tout en réduisant les besoins en carburant, en eau d’irrigation et en main-d’œuvre. Cette innovation mécanique consiste donc à travailler intelligemment. Dans le climat économique et environnemental actuel, une approche « zéro déchet » qui augmente l’efficacité et la qualité, mais qui réduit l’utilisation des ressources est aussi une solution attrayante. L’amélioration des techniques agricoles est essentielle pour accroître la productivité, la durabilité et la résilience des exploitants. Ces technologies incluent un large éventail de progrès comme les semences améliorées, les nouveaux systèmes d’irrigation et les meilleures méthodes de lutte antiparasitaire. Tout cela permet de transformer l’agriculture traditionnelle basée sur la main-d’œuvre en une agriculture axée sur la haute technologie. Cela apparaît comme la force motrice de la croissance de l’agronomie. Visitez ce site pour en savoir plus.

La recherche de financements.

Comme vous pouvez le voir, il faut profiter des nouvelles technologies afin de développer le secteur agroalimentaire. Cela nécessite pourtant de grands investissements. D’autre part, lever des capitaux pour lancer une start-up n’est pas facile notamment dans la région ACP. Ce qui rend donc plus important le besoin d’une structure de coûts et d’un modèle commercial clairs. Obtenir un prêt ou une bourse grâce à l’accès au financement pour les jeunes entrepreneurs dans les pays ACP peut par aider les agriculteurs à développer leur activité.

Notez toutefois que seules les entreprises en démarrage et qui ont pris en compte tous ces problèmes — de l’identification d’une gamme de sources de revenus à la fourniture de produits qui répondent aux besoins des agriculteurs et qu’ils peuvent utiliser — seront prises en compte. Considérez les subventions accordées aux incubateurs, aux programmes de démarrage, aux investisseurs providentiels et aux institutions financières pour votre recherche de financements. La recherche des partenariats peut également être intéressante afin de partager une partie des coûts de la prestation de services et la commercialisation des agroentreprises qui démarrent.

Les solutions des durables pour l’agriculture.

Le monde dépend de l’agriculture pour obtenir des alimentations sains, nutritifs et sûrs. Pourtant, la production actuelle risque d’absorber et de détruire les ressources naturelles dont l'agricole dépend. Les enjeux de demain sont donc multipliés. Il faut par exemple produire plus pour nourrir plus de personnes, assurer une alimentation équilibrée pour tous, et être plus respectueux de l’environnement. Par conséquent, le secteur doit s’adapter et répondre au changement climatique ainsi qu’aux nouveaux défis auxquels est confronté le système alimentaire mondial. Ainsi, il pourra toujours s’améliorer même dans les 30 ans à venir. Cela passe par une agriculture consomme moins d’énergie (et d’autres sources d’énergie que le pétrole), moins d’eau et maintienne la qualité de l’eau et du sol. Mais le changement viendra aussi de choix de consommation et de comportements des producteurs et des consommateurs. L’innovation et la technique culturale telle l’agriculture de conservation semblent par exemple être une solution durable pour ce domaine. Il faut également limiter le gaspillage alimentaire et adopter des choix alimentaires moins impactant pour la planète. Il faut aussi privilégier davantage l’agriculture biologique de l’agriculture intensive.

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